7 resultados para Dermatology Life Quality Index ( DLQI)

em Université de Montréal, Canada


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Problmatique : Ldentement et les troubles du sommeil sont des affections chroniques frquentes chez les personnes ges et qui peuvent avoir des consquences dfavorables sur le bien-tre de ces personnes, ainsi que sur leur qualit de vie. Ldentement pourrait perturber le sommeil par la modification de la structure crnio-faciale et des tissus mous environnants. Cependant, cette relation n'est pas suffisamment document. Objectifs : Le but de cette tude pilote tait de prparer la mise en uvre dune tude clinique randomise contrle concernant leffet du port nocturne des prothses compltes sur la qualit du sommeil. Mthodologie : Treize ans dents ont particip cette tude clinique randomise contrle de type crois. Lintervention consistait dormir avec ou sans les prothses durant la nuit. Les participants l'tude ont t assigns porter et ne pas porter leurs prothses dans des ordres alternatifs pour des priodes de 30 jours. La qualit du sommeil a t value par la polysomnographie portable et le questionnaire Pittburgh Sleep Quality Index (PSQI). Les donnes supplmentaires incluent la somnolence diurne, value par le questionnaire Epworth Sleepiness Scale (ESS), et la qualit de vie lie la sant buccodentaire, value par le questionnaire Oral Health Impact Profile 20 (OHIP-20). De plus, travers les examens cliniques et radiologiques, les donnes des caractristiques sociodmographiques, de la morphologie oropharynge, des caractristiques buccodentaires et des prothses ont t recueillies. Les modles de rgression linaire pour les mesures rptes ont t utiliss pour analyser les rsultats. Rsultats : Ltude de faisabilit a atteint un taux de recrutement ltude de 59,1% et un taux de suivi de 100%. Le port nocturne des prothses dentaires augmentait lindex d'apne-hypopne (IAH) et le score PSQI par rapport au non port nocturne des prothses : (IAH : Mdiane = 20,9 (1,3 - 84,7) versus 11,2 (1,9 - 69,6), p = 0,237; le score PSQI : Mdiane = 6,0 (3,0 - 11,0) versus 5,0 (1,0 - 11,0), p = 0,248). Cependant, ces diffrences n'taient pas statistiquement significatives, sauf que pour le temps moyen dapne (plus long avec des prothses) (p < 0,005) et le temps de ronflement relatif (moins lev avec des prothses) (p < 0,05). La somnolence diurne excessive et la qualit de vie lie la sant buccodentaire taient semblables pour les deux interventions (le score ESS : Mdiane = 4,0 (3,0-10,0) versus 5,0 (2,0-10,0), p = 0,746; le score OHIP-20: Mdiane = 31,0 (20,0-64,0) versus 27,0 (20,0-49,0), p = 0,670). Limpact nfaste du port nocturne des prothses compltes sur le sommeil a t statistiquement significatif chez les personnes souffrant de lapne-hypopne moyenne svre (p < 0,005). Conclusion : Lessai clinique pilote a montr que le port nocturne des prothses compltes a un impact ngatif sur la qualit du sommeil des gens gs dents, surtout chez les personnes avec lapne obstructive du sommeil modre svre. Les rsultats doivent tre confirms par ltude clinique randomise contrle de phase II.

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Contexte : Les enfants atteints de maladies chroniques utilisent souvent des mdecines complmentaires. Plusieurs tudes traitent de lutilisation de ces traitements et des facteurs qui y sont associs chez les enfants atteints darthrite juvnile mais aucune tude nest longitudinale. De plus, aucune na document lutilisation de ces traitements chez les enfants ayant des incapacits physiques en attente de services publics de radaptation. Objectifs : Les objectifs de cette tude taient de dterminer la frquence dutilisation des mdecines complmentaires chez les enfants atteints darthrite juvnile et dincapacits physiques, dvaluer leur efficacit telle que perue par les parents et dexplorer les facteurs associs leur utilisation. Mthodes : Une cohorte denfants atteints darthrite juvnile idiopathique (n=182, ge moyen : 10,2 ans) qui frquentent des cliniques darthrite et une cohorte denfants ayant des incapacits physiques en attente de services de radaptation publics (n=224, ge moyen : 2,6 ans) ont t suivis durant une priode dun an. Lutilisation des mdecines complmentaires et la perception de leur efficacit daprs les parents ont t values laide de statistiques descriptives chaque trois mois pour la cohorte denfants atteints darthrite et au dbut de ltude pour la cohorte denfants ayant des incapacits physiques. Les facteurs associs lutilisation de ces traitements ont t explors par des analyses de type GEE ( Generalized estimating equations ) et des rgressions polytomique et logistique. Rsultats : Lutilisation antrieure de ces mdecines tait de 51,1% pour les enfants atteints darthrite et de 15% pour les enfants ayant des incapacits physiques. Les mdecines complmentaires taient considres comme tant efficaces dans 72% des cas par les parents denfants atteints darthrite et dans 83% des cas par les parents denfants ayant des incapacits physiques. Les facteurs associs lutilisation des mdecines complmentaires chez les enfants atteints darthrite taient lutilisation antrieure des mdecines complmentaires par les parents et la perception des parents que les mdicaments prescrits ne sont pas utiles pour leur enfant. Chez les enfants ayant des incapacits physiques, les facteurs associs lutilisation des mdecines complmentaires taient lorigine culturelle canadienne, un niveau de scolarit plus lev que le diplme dtudes secondaires et une moins bonne qualit de vie relie la sant. Finalement, lutilisation des mdecines complmentaires semblait associe de moins bons rsultats chez les enfants atteints darthrite. Conclusion: Une proportion non-ngligeable des enfants participant la prsente tude ont utilis des mdecines complmentaires. Leur utilisation tait plus frquente chez les enfants atteints darthrite juvnile idiopathique, surtout chez ceux dont les parents avaient dj utilis les mdecines complmentaires par le pass et chez ceux qui trouvaient la mdication peu efficace. Chez les enfants ayant des incapacits physiques, lutilisation des mdecines complmentaires tait associe des facteurs socio-dmographiques et des besoins plus levs en matire de sant. Les mdecines complmentaires taient considres comme tant efficaces dans les deux cohortes mais leur utilisation tait associe de faibles rsultats chez les enfants atteints darthrite. Ces rsultats dmontrent limportance dvaluer lutilisation des mdecines complmentaires afin de mieux renseigner les parents et de les aider prendre les meilleures dcisions possibles concernant le traitement de leur enfant.

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Linsuffisance cardiaque est une pathologie provoquant une diminution importante des capacits fonctionnelles des patients ainsi quune diminution drastique de la qualit de vie. Lvaluation des capacits fonctionnelles est gnralement effectue par une preuve deffort maximal. Cependant pour plusieurs patients, cet effort est difficile complter. Les objectifs de ltude prsente dans ce mmoire sont : (1) valider trois mthodes dvaluation de la capacit fonctionnelle et arobie des sujets souffrant dinsuffisance cardiaque avec un complexe QRS largi; (2) chercher tablir le profil des patients dmontrant une meilleure tolrance lexercice malgr une consommation maximale doxygne identique; et (3) dmontrer les consquences de la prsence et de la magnitude de lasynchronisme cardiaque dans la capacit fonctionnelle et la tolrance lexercice. Tous les sujets ont t soumis un test de marche de six minutes, un test dendurance charge constante sur tapis roulant et une preuve deffort maximal avec mesure dchanges gazeux la bouche. Les rsultats ont montr une association significative entre les preuves maximale et plus spcifiquement sous-maximale. De plus, une meilleure tolrance lexercice serait associe significativement une plus grande masse du ventricule gauche. Finalement, les rsultats de notre tude nont pas montr deffet dun asynchronisme cardiaque sur la performance leffort tel quvalu par nos protocoles.

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La papillomatose respiratoire rcurrente (PRR) juvnile est cause par les gnotypes 6 et 11 du virus du papillome humain (VPH). Cette maladie est caractrise par des verrues rcurrentes gnralement au larynx. La forme svre peut avoir un impact dvastateur sur la sant et la qualit de vie de lenfant atteint et de sa famille en raison des consquences des multiples chirurgies ncessaires et du risque d'obstruction des voies respiratoires. Objectif: Examiner les facteurs de risque associs aux manifestations svres de la PRR. Mthode: tude rtrospective des 31 cas diagnostiqus entre janvier 1995 et dcembre 2008. Les donnes dmographiques, cliniques, gntiques et virologiques ont t values. Des rgressions logistiques furent effectues afin d'valuer le rle des variables indpendantes sur la svrit de la maladie. Rsultats: Nos donnes suggrent que les facteurs de risque de svrit de la PRR seraient associs au genre fminin (Rapport de cotes (RC)=2.60, intervalles de confiance (IC) 95% : 0.44-15.44), au fait dtre premier-n (RC=3.51, IC 95% : 0.17-72.32), un statut conomique faible (RC=5.31, IC 95% : 0.17-164.19), un jeune ge (RC=0.83, IC 95% : 0.68-1.01), une charge virale leve (RC=3.81, IC 95% : 0.23-63.16) et aux condylomes chez la mre pendant la grossesse (RC=12.05, IC 95% : 0.97-149.85). Conclusion: La svrit de la PRR serait le rsultat d'une combinaison de dterminants qui favoriseraient la croissance cellulaire particulirement chez les jeunes enfants. Des mesures prventives et thrapeutiques visant restreindre la contamination et la rplication du virus pourraient rduire le fardeau de la maladie.

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Problmatique : La littrature scientifique ne contient actuellement aucune tude pidmiologique portant sur la relation entre lexposition une infestation de punaises de lit (Cimex lectularis) et la sant mentale. Lobjectif de cette tude est dexplorer la relation entre le statut dexposition aux punaises de lit et des mesures de dpression, anxit et perturbation du sommeil. Mthodes : Cette recherche est une tude transversale base sur une analyse secondaire des donnes provenant de N=91 adultes locataires de logements insalubres qui ont rpondu un questionnaire de sant au moment dinterventions mdico-environnementales menes par la direction de sant publique de Montral entre janvier et juin 2010. Le questionnaire de sant inclut le Questionnaire de sant du patient (QSP-9) , qui est un outil mesurant les symptmes associs la dpression, loutil de dpistage danxit gnralise (GAD-7) et les items 1-18 de lindice de la qualit du sommeil de Pittsburgh (PSQI). Lassociation entre une exposition autorapporte une infestation de punaises de lit et le niveau de perturbation du sommeil selon la sous-chelle correspondante du PSQI, les symptmes dpressifs selon le QSP-9 et les symptmes anxieux selon le GAD-7, a t value en utilisant une analyse de rgression linaire multivarie. Des donnes descriptives relatives aux troubles de sommeil autodclars et des comportements relis un isolement social, dus une exposition aux punaises de lit, sont aussi prsentes. Rsultats : Lchantillon comprenait 38 hommes et 53 femmes. Parmi les 91 participants, 49 adultes ont signal une exposition aux punaises de lit et de ce nombre, 53,06% (26/49) ont dclar des troubles de sommeil et 46,94% (23/49) des comportements disolement social, en raison de lexposition. Les adultes exposs des punaises de lit ont obtenu des rsultats significativement plus levs sur le QSP-9 (p=0,025), le GAD-7 (p=0,026) et sur la sous-chelle mesurant la perturbation du sommeil (p=0,003) comparativement ceux qui ntaient pas exposs. Conclusions : Cette premire tude exploratoire met en vidence une association significative entre ltat dexposition aux punaises de lit et des troubles de sommeil, ainsi que des symptmes anxieux et dpressifs, indiquant que ceux qui sont exposs aux punaises de lit reprsentent un groupe possiblement risque de dvelopper des problmes de sant mentale. Ces rsultats viennent en appui aux initiatives des dcideurs pour organiser des efforts coordonns dradication au niveau des villes et des provinces.

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Introduction: Plusieurs indices de qualit alimentaire globale ont t labors en misant sur la consommation de certains nutriments ou aliments, ou des groupes daliments. Les indices de la qualit alimentaire globale sont en mesure dvaluer de manire intgre les aspects recherchs dune bonne alimentation. Cest dans ce cadre que le Canadian Healthy Eating Index (C-HEI) a t dvelopp pour valuer le degr auquel les apports alimentaires des individus rencontrent les consignes du guide alimentaire canadien et les Recommandations nutritionnelles canadiennes. Objectif: Evaluer les liens entre lindice de la qualit alimentaire globale C-HEI calcul partir de la moyenne de trois rappels alimentaires de 24 heures et des paramtres nutritionnels, anthropomtriques et des indicateurs de sant au recrutement (T1) dans ltude longitudinale qubcoise sur la nutrition et le vieillissement russi (NuAge). Mthodologie: Des analyses bivaries (coefficients de corrlation, tableaux croiss et la statistique khi deux) ont t ralises afin de dterminer les associations entre le score total C-HEI et certaines variables nutritionnelles, anthropomtriques et le nombre de maladies chroniques. Rsultats et discussion: Les participants ont rencontr ou dpass la plupart de leurs apports nutritionnels de rfrence. Le C-HEI na pas t fortement corrl aux nutriments individuels (rs= 0,14-0,52, p<0,01). Le C-HEI total tait significativement associ aux recommandations canadiennes pour lapport en fibres (rs= 0,51), le % dnergie provenant des lipides (rs=-0,60) et des acides gras saturs (rs= -0,59), p<0,01. De plus, la suffisance en protines et en nergie est augmente lorsquon passait du Q1 (plus faible) Q4 (plus lev) du C-HEI (p<0,05). De mme, les proportions des sujets ayant des mesures anthropomtriques associes aux risques accrus pour la sant sont diminues en passant du Q1 au Q4 (p<0,05), tmoignant ainsi des liens entre une alimentation de bonne qualit et la protection des risques de sant associs lembonpoint et lobsit. Conclusion : Les rsultats de cette recherche ont fourni des preuves additionnelles sur le lien entre le score C-HEI et certains paramtres nutritionnels et anthropomtriques dintrt, et ce, provenant des donnes alimentaires quantitatives colliges au sein dune population ge vivant dans la communaut.